mardi 29 juillet 2008

Bas blancs


Gustave Courbet, Les bas blancs, 1861
(voir à ce sujet le raffiné délire de Paul-Armand Gette sur paularmandgette.com; des beaux blogs, cela existe)

Aucun commentaire:

ma tête, ce soir

ma tête, ce soir

Accouplé à la peur
entre la vie et le vide

le cou engendre le couteau

et le Coupeur de têtes
suspendu entre la tête et le corps

éclate de mou rire

(Ghérasim Luca, A gorge dénouée)

de quoi Elise est-il le nom?

nous sommes nombreux mes frères