mercredi 30 juillet 2008

Marina Petrella

J'y pense souvent, presque tous les jours. Faites comme moi, pensez-y.

(Et lisez, pour vous faire une idée (littéraire) de l'ambiance dans les milieux qui ont donné racine au terrorisme italien, un roman méconnu de mon académicienne préférée et controversée, Marguerite Yourcenar, Denier du rêve, Grasset, 1934, et Plon (remanié et réécrit), 1959).

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Tu as un beau y penser...elle va bientôt mourir, ou bien expédiée vite fait au pays

Anonyme a dit…

Non. Il y a la levée d'écrou...
et Carlà Sarkozy derrière, ou sa sœur plutôt, qui vont essayer d'amoindrir les dégâts.
J'ai envie de dire, en enfant de cœur , qu'il faut être toujours du coté des mauvais, des marginaux, des chats abandonnés, de ceux qui ne peuvent pas se défendre, de ceux qui sont aveuglés, attaqués.
La justice d'ici bas est in mente dei, pas dans les tribunaux.

ma tête, ce soir

ma tête, ce soir

Accouplé à la peur
entre la vie et le vide

le cou engendre le couteau

et le Coupeur de têtes
suspendu entre la tête et le corps

éclate de mou rire

(Ghérasim Luca, A gorge dénouée)

de quoi Elise est-il le nom?

nous sommes nombreux mes frères